Abstract
This study explored community perceptions of factors associated with domestic violence, with an emphasis on events occurring during pregnancy. Ten focus group discussions, 14 key‐informant interviews and four case vignettes were conducted in Wakiso district, Uganda between August and December 2003. Data were analysed using thematic content analysis. Perceived motives and meanings, triggering as well as associated factors, perceived coping mechanisms and community support available for reducing domestic violence, especially that occurring during pregnancy, were identified. Urban migration, changing cultural values and men's unemployment shift the balance of power in gender relations. Resultant male uncertainty and gender antagonism is associated with domestic violence. Family institutions such as extended family structure, relatives and in‐laws were perceived as offering little protection. Factors triggering violence included failed negotiation of sexual relations, disagreement concerning the division of labour within the household and misconceptions about the physical and physiological changes, both dietary and behavioural, which occur in pregnancy.
Résumé
Cet étude a exploré les perceptions communautaires des facteurs associés à la violence domestique, en mettant l'accent sur les évènements qui se produisent au cours des grossesses. Dix groupes‐focus, 14 entretiens avec des informateurs clé et quatre discussions à partir de vignettes de cas ont été menés dans le district de Wakiso en Ouganda, entre aoÛt et décembre 2003. Les données ont été analysées par contenu thématique. Motifs et significations perçus, facteurs déclencheurs et associés, mécanismes de défense perçus et soutien communautaire disponible pour réduire la violence domestique, en particulier celle qui se produit au cours des grossesses, ont été identifiés. La migration urbaine, les valeurs culturelles changeantes et le chômage chez les hommes modifient l'équilibre de pouvoir entre les genres. Les incertitudes masculines qui en résultent et l'antagonisme de genre sont associés à la violence domestique. Les institutions familiales comme la famille élargie, la parenté et la belle‐famille, sont perçues comme offrant peu de protection. Les facteurs déclenchant la violence comprennent l'échec des négociations sexuelles, les désaccords sur le partage des tâches domestiques et les idées fausses sur les modifications physiques et physiologiques, aussi bien d'ordre diététique que comportemental, qui se produisent au cours des grossesses.
Resumen
En este estudio se analizaron las percepciones de la comunidad sobre factores relacionados con la violencia doméstica poniendo énfasis en los casos que ocurren durante el embarazo. Se llevaron a cabo diez grupos de discusión, 14 entrevistas con informantes clave y cuatro casos ilustrativos en el distrito de Wakiso, Uganda, entre agosto y diciembre de 2003. Los datos se analizaron por contextos temáticos. Se identificaron motivos y significados percibidos, desencadenantes y factores relacionados, mecanismos de mimetismo y apoyo de la comunidad disponible para disminuir la violencia doméstica, especialmente cuando las mujeres están embarazadas. La migración urbana, el cambio de valores culturales y el desempleo por parte de la sociedad masculina declinan la balanza de poder en las relaciones entre los sexos. La incertidumbre resultante entre los hombres y el antagonismo de sexos se relacionan con la violencia doméstica. Se opinaba que las instituciones familiares, tales como estructuras familiares, los familiares y suegros ofrecían poca protección. Los factores que desencadenan la violencia incluían fallo en las negociaciones de las relaciones sexuales, desacuerdos sobre la división del trabajo en la casa y las ideas falsas sobre los cambios físicos y fisiológicos, tanto de alimentación como de conducta, que ocurren durante el embarazo.
Acknowledgements
The study was funded by SIDA/SAREC through Makerere University‐Karolinska Institute Research Collaboration. The authors acknowledge the support of local authorities of Wakiso district and thank participants in focus group discussions and interviews.