Abstract
Despite the high prevalence of HIV among men who have sex with men in South Africa, very little is known about their lived realities, including their social and sexual networks. Given the influence of social network structure on sexual risk behaviours, a better understanding of the social contexts of men who have sex with men is essential for informing the design of HIV programming and messaging. This study explored social network connectivity, an understudied network attribute, examining self-reported connectivity between friends, family and sex partners. Data were collected in Cape Town and Port Elizabeth, South Africa, from 78 men who have sex with men who participated in in-depth interviews that included a social network mapping component. Five social network types emerged from the content analysis of these social network maps based on the level of connectivity between family, friends and sex partners, and ranged from disconnected to densely connected networks. The ways in which participants reported sexual risk-taking differed across the five network types, revealing diversity in social network profiles. HIV programming and messaging for this population can greatly benefit from recognising the diversity in lived realities and social connections between men who have sex with men.
Résumé
En dépit de la forte prévalence du VIH parmi les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes en Afrique du Sud, on en sait très peu sur leurs réalités vécues, y compris leurs réseaux sociaux et sexuels. Étant donné l’influence de la structure des réseaux sociaux sur les comportements sexuels à risque, il est essentiel de comprendre les contextes sociaux des hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes pour éclairer la conception de la programmation et l’élaboration de messages sur le VIH. Cette étude a examiné la connectivité des réseaux sociaux, attribut sous-étudié de ces réseaux, et a examiné la connectivité auto-signalée entre amis, membres de la famille et partenaires sexuels. Les données ont été recueillies au Cap et à Port Elizabeth, en Afrique du Sud, auprès de 78 hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes qui ont pris part à des entretiens approfondis comportant un élément de cartographie des réseaux sociaux. Cinq types de réseaux sociaux se sont dégagés de l'analyse du contenu de ces cartes de réseaux sociaux, selon le degré de connectivité entre les membres de la famille, les amis et les partenaires sociaux, qui allaient de l’absence de connexion à des réseaux densément connectés. Les manières dont les participants ont signalé la prise de risques sexuels différait entre les cinq types de réseaux, ce qui révélait la diversité des profils de réseaux sociaux. Le fait de reconnaître la diversité des réalités vécues et des connexions sociales entre les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes peut se révéler très utile dans le cadre de la programmation et de l’élaboration de messages en matière de VIH pour cette population.
Resumen
Pese a la alta prevalencia del VIH en hombres que tienen relaciones sexuales con hombres en Sudáfrica, poco se conoce sobre sus realidades vividas, incluyendo sus redes sociales y sexuales. Dada la influencia de la estructura de redes sociales sobre las conductas de riesgo sexual, es imprescindible entender mejor los contextos sociales de los hombres que tienen relaciones sexuales con hombres con el objetivo de recabar información para la creación de mensajes y programas contra el sida. En este estudio analizamos la conectividad de las redes sociales, que es un atributo de redes estudiado insuficientemente, y examinamos la conectividad autoinformada entre amigos, familias y parejas sexuales. Los datos fueron recabados en Ciudad del Cabo y Puerto Elizabeth, Sudáfrica, a partir de entrevistas exhaustivas llevadas a cabo a 78 hombres que tienen relaciones sexuales con hombres en las que se incluyó el componente del mapeo de redes sociales. Surgieron cinco tipos de redes sociales a partir del análisis de contenido de estos mapas de redes sociales a nivel de conectividad entre la familia, los amigos y las parejas sexuales, y variaban de redes desconectadas a densamente conectadas. Los participantes informaron sobre los riesgos sexuales de forma diferenciada en los cinco tipos de redes revelando la diversidad en los perfiles de las redes sociales. Los mensajes y programas contra el sida para esta población podrían mejorarse en gran medida si se reconociera la diversidad de las realidades en las que viven los hombres que tienen relaciones sexuales con hombres y sus conexiones sociales.
Acknowledgements
The authors would like to thank the participants for their valuable time and participation, and Ayesha McAdams-Mahmoud for her work in the study implementation and data collection.
Disclosure statement
No potential conflict of interest was reported by the authors.