ABSTRACT
In this article, we contribute to robot geographies by developing the idea of robotic ‘liveliness’ in the context of their increased use during the COVID-19 pandemic. Our framing draws on new materialism, and builds the idea of liveliness by considering robots’ agential capacities in three different ways: as apparently autonomous technologies; as inorganic and mechanical bodies; and as perpetually unfinished and contingent things. We examine a range of examples of their deployment during the pandemic to speculate on the potential for robots to emerge as ‘caring subjects’ via this notion of liveliness, and argue that it offers an approach that can contribute to critiques about their use in ‘caring’ roles, an application which is rapidly developing in the area of social robotics. We contend that this claim to ‘care’ within robotics is one reason why exploration and framing of their liveliness is needed.
Resumen
En este artículo contribuimos a las geografías de los robots desarrollando la idea de la ‘vivacidad’ robótica en el contexto de su mayor uso durante la pandemia del COVID-19. Nuestro marco se basa en el nuevo materialismo y construye la idea de la vivacidad al considerar las capacidades de agencia de los robots de tres formas diferentes: como tecnologías aparentemente autónomas; como cuerpos inorgánicos y mecánicos; y como cosas perpetuamente inconclusas y contingentes. Examinamos una variedad de ejemplos de su despliegue durante la pandemia para especular la posibilidad de que los robots emerjan como ‘sujetos solidarios’ a través de esta noción de vivacidad, y argumentamos que ofrece un enfoque que puede contribuir a las críticas sobre su uso en roles de ‘cuidado’, una aplicación que se está desarrollando rápidamente en el área de la robótica social. Sostenemos que esta afirmación de ‘cuidado’ dentro de la robótica es una de las razones por las que se necesita una exploración y enmarcamiento de su vivacidad.
Résumé
Dans cet article nous contribuons à la géographie robotique en développant l’idée de « côté vivant » des robots dans le contexte de leur utilisation accrue pendant l’épidémie de COVID-19. Nous nous appuyons sur un cadrage issu du nouveau matérialisme et établissons l’idée de leur côté vivant par un examen des capacités d’agentivité des robots sur trois angles: en tant que systèmes robotiques apparemment autonomes; en tant qu’entités inorganiques et mécaniques; et en tant que choses perpétuellement inachevées et dépendantes. Nous étudions une variété d’exemples de leurs emplois pendant l’épidémie pour spéculer sur la possibilité que les robots apparaissent comme des « sujets compréhensifs » par le biais de cette notion de côté vivant, et soutenons que cela offre une approche qui peut contribuer à des critiques sur leur utilisation dans des rôles de « care », une application qui est en train de se développer rapidement dans le domaine de la robotique sociale. Nous exprimons l’opinion que cette affirmation concernant le « care » et la compassion au sein de la robotique est une raison pour laquelle l’exploration et la définition de leur côté vivant sont nécessaires.
Acknowledgments
The authors thank the Monash University Faculty of Art, Design and Architecture for providing funding to support this research. We also thank the anonymous reviewers.
Disclosure statement
No potential conflict of interest was reported by the authors.