Abstract
RATIONALE AND OBJECTIVE: Bronchopulmonary dysplasia (BPD) is defined as the persistent need for oxygen at 36 weeks post menstrual age or 28 days of postnatal life in premature infants. Close to half of all premature infants with BPD are discharged from hospital with supplemental home oxygen and pediatric respirologists are commonly involved in the decision of discontinuing supplemental oxygen use. Our objective was to assess whether there is variability among Canadian pediatric respirologists on when to discontinue supplemental oxygen given the lack of evidence-based guidelines shaping this decision-making process.
METHODS: Ethics approval was obtained and a cross sectional survey study was completed. Online and paper surveys included 4 oximetry test results and clinical vignettes provided in both English and French. Descriptive statistics were obtained for quantitative variables and data were analyzed for significance using the STATA statistical analysis software.
RESULTS: The survey response rate was 27%. The decision to discontinue home oxygen did vary based on the province of current work; Alberta had the highest rate of respondents choosing to discontinue home oxygen (47.5%) in comparison to British Columbia and Quebec (18 and 20%, respectively; chi-square 3.97, p = 0.403). The years of experience of the physician was associated with a higher use of a guideline in making decisions on supplemental oxygen use (3.1 vs. 1.8, p = 0.167).
CONCLUSION: This project allowed us to gather data on current decision making practices on home oxygen use among Canadian pediatric respirologists and informs that there is variability on care that patients receive across the country.
RÉSUMÉ
JUSTIFICATION ET OBJECTIF: La DBP est définie comme le besoin persistant d’oxygène à l’âge de 36 semaines après les menstruations ou 28 jours de vie postnatale chez les prématurés. Près de la moitié de tous les prématurés atteints de BPD sortent de l’hôpital avec de l’oxygène supplémentaire à domicile et les pneumologues pédiatriques sont généralement impliqués dans la décision d’arrêter l’utilisation d’oxygène supplémentaire. Notre objectif était d’évaluer s’il existe une variabilité chez les pneumologues pédiatriques canadiens quant au moment d’arrêter l’oxygène supplémentaire, compte tenu de l’absence de lignes directrices fondées sur des données probantes pour orienter ce processus décisionnel.
MÉTHODES: L’approbation en matière d’éthique a été obtenue et une étude transversale a été réalisée. Les sondages en ligne et sur papier comprenaient quatre résultats de tests d’oxymétrie et des vignettes cliniques fournies en français et en anglais. Des statistiques descriptives ont été obtenues pour les variables quantitatives et les données ont été analysées pour en déterminer la signification à l’aide du logiciel d’analyse statistique STATA.
RÉSULTATS: Le taux de réponse au sondage était de 27 %. La décision d’interrompre l’oxygène à domicile variait selon la province de travail ; l’Alberta affichait le taux le plus élevé de répondants ayant choisi d’interrompre l’oxygène à domicile (47,5 %) comparativement à la Colombie-Britannique et au Québec (18 % et 20 % respectivement, chi carré 3,97, p = 0,403). Les années d’expérience du médecin étaient associées à une utilisation plus élevée d’une ligne directrice dans la prise de décisions sur l’utilisation d’oxygène supplémentaire (3,1 vs 1,8, p = 0,167).
CONCLUSION: Ce projet nous a permis de recueillir des données sur les pratiques actuelles de prise de décision en matière de consommation d’oxygène à domicile chez les pédiatres canadiens et indique qu’il existe une variabilité dans les soins que les patients reçoivent d’un bout à l’autre du pays.
Acknowledgments
We would like to acknowledge the physicians who participated in our survey and provided us with the data to complete our research.
Disclosure statement
None of the authors have any conflict of interest to declare.