References
- The other one, Recherches sur l'usage littéraire du langage, is still unpublished.
- Merleau-Ponty, M., Le monde sensible et le monde de l'expression, eds. E. de Saint Aubert et S. Kristensen. Genève: Métis Presses, 2011, 63 « rapport expressif corps-monde sensible, naturel ou muet homme-monde institutionnel ou de culture ou parlant ».
- Merleau-Ponty, M. L'Institution-La Passivite: Notes de cours au College de France (1954–1955). Paris: Editions Belin, 2003.
- « restait tout de même ordonnée à des concepts classiques », 45.
- « d'accès à l'être », 46.
- « Un inédit de Maurice Merleau-Ponty », in Merleau-Ponty, M., Parcours deux 1951–1961, ed. J. Prunair. Lagrasse: Verdier, 2000.
- Le monde sensible et le monde de l'expression, 48 «…cette conscience ne peut avoir affaire qu'à ses significations…», « Rien ne peut la toucher qu'en éveillent en elle une des significations qu'elle conçoit. ».
- «…il empiète sur elle, il l'entoure. », «…par sa vibration en moi…», 49.
- « Non possession de représentation. », « écart précis », 164.
- « logique interne », 49.
- « mode d'écart », 56, «…change de direction à chaque instant mais toujours de la même façon…» 50.
- «…il offre un sens comme tacite qui se révèle plutôt dans les exceptions où il manque que par sa position propre…», 49.
- «…la propriété qu'a un phénomène, par son agencement interne, d'en faire connaître un autre qui n'est pas ou même n'a jamais été donné. », 48.
- « centre de perspective de ces vues. », « L'homme est ce rapport entre expression et exprimé. », 57.
- « perception est expression », « expression du monde », 48.
- «…ce sont plutôt des significations comme celles du tableau: une touche de vert placée ici fait sourire une joue sans que nous sachions comment, en vertu d'une syntaxe que nous pratiquons sans en avoir la science. », 50.
- 70.
- 91.
- « Pas de mouvement devant conscience thétique qui le fige…», « On ne peut le voir que du coin de l'oeil, à condition de ne pas réfléchir, de ne pas savoir ce qu'on voit, comme apparence ou illusion. », 90.
- 95f.
- « Donc ici mouvement = révélation de l'être, résultat de sa configuration interne », 102.
- «…sans passer par le rapport objectif grandeur apparente—distance. », « style de mouvement», «…le sens est moyen de rendre compte du style de mouvement mais ne paraît justement qu'en lui…», 114.
- « Si l'on veut signes mais au sens moderne non d'une somme de données, mais de réalisations diverses d'un seule puissance de variation phonématique, qui ne se distinguent qu'en s'opposant, qui sont diacritiques et en interaction. En ce sens là perception du mouvement = lecture. », 111.
- «…qu'il y ait mélange de l'avant et de l'après, de l'ici et du là, empiétement. »,« par une sorte de mélange de moi et des ‘choses’», 90.
- « Notre motricité comme fondement de la mobilité des objets. » 120.
- « ouverture à un monde par motricité », 158.
- « système de référence», «système d'équivalences intersensorielles immédiates », 129.
- « Donc le schéma corporel est aussi une certaine structure du monde perçu et ce dernier a sa racine en lui. », 144.
- « rien ne serait senti comme figure », « le corps rejoindrait son fond», «écart, anomalie, expressément perçu. », 143.
- 143.
- « superstructure particulièrement fragile du schéma corporel », 164, « relation avec autrui, langage, pensée», 158.
- « sublime davantage le mouvement humain », 164, «…le corps s'ouvrant à gesticulation selon loi de construction (langue) non naturelle, non gestuelle…», 162.
- « passe à un autre ordre », 165.
- «…non seulement dessiner une perspective, une articulation du monde physique et social, mais encore rejoindre une vérité.», 162.