Références
- Barthélémy, M. (1999). Les expériences multiples de l’endurance. Sociétés, 64, 43–49.
- Bessy, O. (2005). Sociologie des pratiquants de l’extrême. Le cas de figure des participants au Grand Raid de la Réunion. Staps, 69, 57–72.
- Bessy, O., et Suchet, A. (2015). Une approche théorique de l’événement sportif. Mondes du Tourisme (en ligne), 11. doi :10.4000/tourisme.1023
- Bidart, C. (2006). Crises, décisions et temporalités : autour des bifurcations biographiques. Cahiers Internationaux de Sociologie, 120(1), 29–57.
- Bombard, A. (1953). Naufragé volontaire. Paris : Éditions de Paris.
- Bouchet, P., et Lebrun, A. M. (2003). L’expérience de consommation de tourisme sportif de pleine nature. Revue européenne de management du sport, 10, 227–249.
- Bridel, W., Markula, P., et Denison, J. (2016). Critical considerations of runners and running. In W. Bridel, P. Markula, et J. Denison (Eds.), Endurance running: A socio-cultural examination (pp. 1–15). London: Routledge.
- Canetti, E. (1996). Masse et puissance. Paris : Gallimard.
- De Garis, L. (1999). Experiments in pro wrestling: Toward a performative and sensuous sport ethnography. Sociology of Sport Journal, 16(1), 65–74.
- Defrance, J. (1989). Un schisme sportif. clivages structurels, scissions et oppositions dans les sports athlétiques, 1960–1980. Actes de la Recherche en Sciences Sociales, 79, 76–91.
- Donnelly, P. (1985). Sport subcultures. Exercise and Sport Sciences Reviews, 13(1), 539–578.
- Ehrenberg, A. (1988). L’âge de l’héroïsme. Sport, entreprise et esprit de conquête dans la France contemporaine. Cahiers Internationaux de Sociologie, 85, 197–224.
- Ehrenberg, A. (1991). Le culte de la performance. Paris : Calmann-Lévy.
- Giddens, A. (1984). The constitution of society. Berkeley, CA: University of California Press.
- Griffet, J. (1994). Décision, risque, émotion. Science et motricité, 23, 3–12.
- Griffet, J. (1995). Aventures marines. Paris : L’Harmattan.
- Hanula, G., Travert, M., et Griffet, J. (2012). Jouer au-dessus du vide. Les parcours acrobatiques en hauteur : une offre hybride de loisir sportif. Ethnologie française, 42, 165–174.
- Holbrook, M. B., et Hirschman, E. C. (1982). The experiential aspects of consumption: Consumer fantasies, feelings and fun. Journal of Consumer Research, 9(2), 132–140.
- Holt, N. L., Lee, H., Kim, Y., et Klein, K. (2014). Exploring experiences of running an ultramarathon. The Sport Psychologist, 28, 22–35.
- Huizinga, J. (1951). Homo ludens. Paris : Gallimard.
- Jankélévitch, V. (1963). L’aventure, l’ennui, le sérieux. Paris : Aubier.
- Jeu, B. (1991). La double fonction poétique et politique du sport; rapport de ce dernier à la société universelle. Dans F. Landry, M. Landry, et S. Yelès ( dirs.), Sport, culture et société : héritage, idéologies et controverses (pp. 21–29). Québec et Ottawa : Les presses de l’université de Laval.
- Jornet, K. (2014). Courir ou mourir. Le journal d’un sky-runner. Lyon : Outdoor-éditions.
- Kay, J., et Laberge, S. (2002). The ‘new’ corporate habitus in adventure racing. International Review for the Sociology of Sport, 37(1), 17–36.
- Kemp, S. F. (1999). Sled dog racing: The celebration of co-operation in a competitive sport. Ethnology, 38(1), 81–95.
- Knobe, S. (2007). Eléments pour une analyse sociologique de l’entrée dans l’ultra-fond. L’exemple du marathon des sables. Loisir et société/Society and Leisure, 29, 401–421.
- Laurans, G. (1990). Qu’est-ce qu’un champion? La compétition sportive en Languedoc au début du siècle. Annales ESQC, 45(5), 1047–1069.
- Le Breton, D. (1991). Passions du risque. Paris : Éditions Métailié.
- Le Breton, D. (2000). Playing symbolically with death in extreme sports. Body & Society, 6(1), 1–11.
- Lyng, S., et Snow, D. (1986). Vocabularies of motive and high-risk behavior: The case of skydiving. Advances in Group Processes, 3, 157–179.
- Poletti, C. (2010). La France terre de trail. Revue Espaces, 286, 6–8.
- Rochedy, R. (2015). Analyse d’un espace de décélération : l’exemple de l’ultra-trail. Staps, 1, 97–109.
- Rosa, H. (2012). Aliénation et accélération. Vers une théorie critique de la modernité tardive. Paris : La Découverte.
- Segalen, M. (1994). Les enfants d’Achille et de Nike. Une ethnologie de la course à pied ordinaire. Paris : Éditions Métailié.
- Serres, M. (1974). Jouvences sur Jules Verne. Paris : Éditions de Minuit.
- Silvestre, P. (2005). Jusqu’où iront les coureurs de l’extrême. Ça m’intéresse, 292, 22–24.
- Simmel, G. (1912). Mélanges de philosophie relativiste. Paris : Alcan.
- Simpson, D., Post, P. G., Young, G., et Jensen, P. R. (2014). It’s not about taking the easy road: The experiences of ultramarathon runners. The Sport Psychologist, 28, 176–185.
- Waser, A.-M. (1998). Du stade à la ville : réinvention de la course à pied. Les Annales de la Recherche Urbaine, 79, 58–68.
- Weber, M. (1965). Essais sur la théorie de la science. Paris : Plon.
- Zweig, S. (1976). Magellan. Paris : Grasset.