Summary
Skin colour data obtained by reflectance spectrophotometry on indigenous populations are compared with environmental variables—latitude, temperature, humidity and altitude. Association with latitude predominates at all wavelengths. Temperatures show a small but appreciable association at the shorter wavelengths, humidity at wavelengths above 595 nm. Over 80 per cent of the total interpopulation variance at each wavelength is accounted for by these variables, more at the shorter wavelengths. It is suggested that skin colour should be regarded as a complex of entities of differing selective values rather than a single entity.
Zusammenfassung
Hautfarbendaten, gemessen mit dem Reflex-Photospektrometer an Eigenborenen-Bevölkerungen, werden mit den Umweltvariablen Breitengrad, Temperatur, Luftfeuchte und Höhe ü. M. verglichen. Die Verbindung mit dem Breitengrad dominiert in allen Wellenlängen. Die Temperaturen zeigen eine kleine, aber klare Beziehung bei den kürzeren Wellen, die Feuchtedaten bei über 595 nm. Über 80 prozent der Varianz zwischen den Bevölkerungen gehen auf diese Variablen zurück, bei den kürzeren Wellenlängen sogar mehr. Es wird vorgeschlagen, dass die Hautfarbe als ein Komplex verschiedener Selektivwerte aufgefasst werden sollte und nicht als Einheit.
Résumé
Les données sur la couleur de la peau obtenues par spectrophotométrie de la réflectance sont mises au regard de variables de l'environnement: latitude, température, humidité et altitude. L'association à la latitude prédomine à toutes les longueurs d'onde. La température montre une association faible mais appréciable aux longueurs d'ondes les plus courtes, l'humidité aux longueurs d'ondes supérieures à 595 nm. Plus de 80 per cent de la variance totale interpopulationnelle à chaque longueur d'onde est assurée par ces variables, davantage encore aux longueurs d'ondes les plus courtes. Il est suggéré que la couleur de la peau devrait étre considérée comme un complexe d'entités à valeurs sélectives différentes plutôt que comme une entité unique.