Summary
One of the assumptions of migration matrix methods of population structure is that long-distance migrants are all sampled from a genetically homogeneous ‘outside world’. This assumption has not often been tested. This paper examines migration and surname data from four towns in historical Massachusetts in order to examine this assumption and potential genetic effects of heterogeneous long-distance migration. Analysis of migration data shows that the rate of long-distance migration is significantly different for the four towns. The distributions of source populations for long-distance migrants into each town are significantly different. Surname analysis shows that in spite of the violation of the assumption of long-distance migrant homogeneity, there is little effect on the degree and pattern of within-group and among-group variation for these towns. This lack of effect seems related to genetic homogeneity of the long distance migrants.
Zusammenfassung
Eine der Annahmen von Migrationsmatrixmethoden der Bevölkerungsstruktur ist, daß Fernwanderer durchgehend aus einer genetisch homogenen “übrigen Welt” stammen. Diese Annahme wurde bisher selten getestet. Diese Arbeit überprüft Wanderungs- und Nachnamensdaten von vier Gemeinden des historischen Massachusetts, um jene Annahme und potentielle genetische Effekte einer heterogenen Langstreckenwanderung zu prüfen. Die Analyse der Migrationsdaten zeight, daß die Ziffer der Fernwandrungen bei den vier Gemeinden signifikant unterschiedlich ist. Die Verteilung der Herkunftsbevölkerungen der Fernwanderer in jede Gemeinde ist ebenfalls signifikant unterschiedlich. Die Nachnamensanalyse zeigt, daß es trotz der Verletzung der Annahme einer Fernwandererhomogenität nur geringe Wirkungen auf Ausmaß und Muster der Binnengruppen- und Zwischengruppenvariation für diese Gemeinden gibt. Dies Fehlen von Wirkungen scheint verknüpft zu sein mit genetischer Homogenität der Langstreckenwanderer.
Résumé
L'une des suppositions préalables que font les méthodes qui utilisent les matrices de migration pour étudier la structure des populations, est que les immigrants “lointains” sont tous tirés d'un “milieu extérieur” génétiquement homogène. Cette supposition n'a pas souvent été discutée. Cet article examine des données de migration et de noms de famille de quatre villes du Massachusetts historique, afin d'éprouver cette supposition et d'apprécier les effets génétiques potentiels résultant de migrations à longue distance hétérogènes. L'analyse des données sur les migrations montre que le taux d'immigration lointaine est significativement différent pour les quatre villes. Les distributions des populations source de ces migrants sont significativement différentes dans les quatre villes. L'analyse des noms montre que malgré le non respect du postulat d'homogénéité des immigrants lointains, cela produit peu d'effet sur le degré et les modalités de la variation inter-groupe et intra-groupe dans ces villes. Cette absence d'effet parait liée à l'homogénéité génétique des immigrants lointains.