Summary
Phenotype and gene frequencies in blood group, red cell enzyme, and serum protein polymorphisms in a sample of Shetland islanders are reported. Analyses of genetic distance and relationship indicate that Shetland affinities are closer to nearby populations bordering the North Sea rather than to those of the North Atlantic. The closest affinities seem to be with populations in north Britain with a similar history of Norse influence. There is evidence that the Shetlanders retain an element of an ultra-European population extreme in some gene frequencies and so, like the Orcadians, may be regarded as much diluted relict of an ancient population.
Zusammenfassung
Phänotyp- und Genfrequenzen von Blutgruppen-, Etytrozytenenzym- und Serumproteinpolymorphismen werden für eine Stichprobe von Shetland-Insulanern berichtet. Analysen von genetischem Abstand und Verwandschaft zeigen, daß die Ähnlichkeiten von Sheltand enger sind mit nahe gelegenen Bevölkerungen vom Ufer der Nordsee als mit jenen des Nordatlantik. Die engsten Ähnlichkeiten scheinen mit Bevöikerungen in Nordbritannien zu bestehen, mit einer ähnlichen Geschichte norwegischen Einflusses. Es gibt Hinweise daraug, daß die Shetländer ein Element eines ultra-europäischen Bevölkerungsextrems bei manchen Genfrequenzen bewahren, und damit ähnlich wie die Orkadier als ein stark verdünntes Relikt einer alten Bevölkerung betrachtet werden können.
Résumé
Des résultats concernant les fréquences géniques et phénotypiques des systèmes sanguins, d'enzymes érythrocytaires et de polymorphismes de protéines sériques d'un échantillon d'habitants insulaires des Shetlands, sont exposés. Des analyses de distances génétiques et d'association indiquent que les affinités des Shetland sont plus prononcées envers les populations riveraines de la Mer du Nord qu'enver celles de l'Atlantique-Nord. Les affinités les plus étroites paraissent ètre avec les populations du nord de l'Angleterre ayant connu une influence norvégienne similaire au cours de leur historie. Il s'impose à l'évidence que les habitants des Shetlands conservent un élément de population ultra-européenne extrème par quelques fréquences géniques et par conséquent, qu'ils peuvent ètre considérés, comme ceux des Orchades, comme une population relique très diluée.