Abstract
Je ne pense pas provoquer de protestations si je commence par souligner que le côté théorique de l'assurance vie peut-être considéré comme un édifice achevé auquel il ne manque encore, çà et là, que les paraments artistiques. Personne ne pourra non plus me contredire si je prétends que l'assurance vie a prodigieusement profité du vigoureux développement qui a été donné à son côté théorique.