Abstract
Despite the importance of entrepreneurial self-efficacy (ESE) in the explanation of the subsequent intention, move to action or performance of a firm, research is scarce on the understanding of the impact of determinants of ESE. The originality of this paper lies in the simultaneous presentation of different factors of self-efficacy development, therefore of levers to potentially increase it. Our work with over 860 college students from Québec shows that encouragements by close ones (subjective norms), as well as generalised optimism, passion and perseverance for long term projects (psychological and emotional state) are the main determinants, followed by, to a lesser extent, entrepreneurship courses (masters experience) and, marginally, having a family involved in business (social learning modelling). If the two main results are that, on one hand, (1) subjective norms are the only determinant to impact all dimensions, and on the other hand, (2) entrepreneurship courses have little impact on ESE, we can conclude that there is a need to start a reflection on alternative terms of student entrepreneurship learning. Our results suggest that other determinants of ESE be investigated, such as contextualised learning in Startup Weekend type activities, as a potential source of change at this level.
ABSTRAIT
Malgré l’importance de l’auto-efficacité entrepreneuriale (AEE) pour expliquer l’intention, le passage à l’action ou la performance subséquente de l’entreprise, peu de recherches s’attachent à comprendre l’effet des déterminants de l’AEE. L’originalité de cet article réside dans la présentation simultanée des différents facteurs de développement de l’auto-efficacité et donc les leviers pour possiblement l’augmenter. Notre travail auprès de plus de 860 étudiants universitaires au Québec montre que les encouragements des proches (normes subjectives) ainsi que l’optimisme généralisé et la passion et la persévérance pour les projets à long terme (états psychologiques et émotionnels) sont les principaux déterminants, suivi dans une moindre mesure par les cours en entrepreneuriat (expérience de maîtrise) et, marginalement, du fait d’avoir une famille en affaires (apprentissage social modelant). Si les deux principaux résultats sont, d’une part, (1) les normes subjectives sont le seul déterminant ayant un impact sur l’ensemble des dimensions et que d’autres part (2) les cours en entrepreneuriat ont peu d’impact sur l’AEE, nous pouvons conclure qu’une réflexion doit s’engager sur des modalités alternatives d’apprentissage de l’entrepreneuriat étudiant. Nos résultats suggèrent d’investiguer d’autres déterminants à l’AEE, tel l’apprentissage contextualisé dans des activités de type Startup Weekend, comme source potentielle de changement à ce niveau.
Disclosure statement
No potential conflict of interest was reported by the authors.
Commentaires reçus et révision de la dernière version du manuscrit intitulé: « Comment développer l’auto-efficacité entrepreneuriale? Étude auprès d’étudiants universitaires » soumis à JSBE.
Tableau 1. Résumé des hypothèses.
Tableau 2. Relation entre les variables indépendantes et l’auto-efficacité entrepreneuriale (AEE).
Tableau 3. Synthèse des corrélations.
Notes on contributors
Étienne St-Jean is Professor at Université du Québec à Trois-Rivières and active member of Institut de Rercherche sur les PME (InRPME). His research focuses on entrepreneurial cognition and psychology, and training and support for entrepreneurs.
Étienne St-Jean est professeurs titulaire à l’Université du Québec à Trois-Rivières et un membre régulier de l’Institut de recherche sur les PME (InRPME). Ses travaux se concentrent sur la cognition et la psychologie entrepreneuriale ainsi que le soutien et la formation pour entrepreneurs.
Cecile Fonrouge is Professor at Université du Québec à Trois-Rivières and active member of Institut de Rercherche sur les PME (InrPME). Her current research focuses on third-places as fablab for entrepreneurs and students.
Cécile Fonrouge est professeure à l’Université du Québec à Trois-Rivières et un membre régulier de l’Institut de recherche sur les PME (InRPME). Ses travaux se concentrent sur les tiers-lieux tels les fablabs pour entrepreneurs et étudiants.