Abstract
Physical activity promotes physical, psychological, and social well‐being for young people. However, socio‐economically disadvantaged adolescents participate significantly less in physical activity. Three focus groups were held with disadvantaged adolescents and parents to better understand factors related to participation in physical activity and to successfully implement and sustain a new program for such young people in one target community in Ottawa. One focus group comprised of seven male adolescents, another comprised of 10 female adolescents, and the third comprised of 13 mothers. The participants identified a range of constraints and facilitators to youth physical activity. They also raised important considerations for the implementation of a new program. The most common theme was the need for more accessible physical activity programming that was fun, safe, and relevant for young people. Implications of the focus group findings for implementing physical activity programming in disadvantaged neighbourhoods are discussed using the newly implemented community‐based hip‐hop dance program as an example.
Résumé
L'activité physique favorise le développement physique, psychologique et le bien‐être chez les adolescents. Le désavantage socio‐économique défavorise de façon significative l'activité physique chez les adolescents. Trois groupes de discussion reliée aux adolescents défavorisés ont été organisés pour mieux comprendre ces facteurs reliés à l'activité physique et pour mettre en œuvre avec un nouveau programme de soutien pour jeunesse dans une communauté ciblée, à Ottawa. Trois groupes de discussion composée de sept adolescents, un autre composé de dix adolescentes, et le troisième, composés de treize mères ont été inclus dans cette recherche. Les participants ont identifié une série de contraintes et de facilitateur d'activité physique. Ils ont également soulevé des considérations importantes pour la mise en œuvre d'un nouveau programme de danse hip‐hop. Le thème le plus commun était la nécessité d'une programmation plus accessible, amusante, sécuritaire et pertinente. Les implications de ces conclusions pour la mise en œuvre de programmes d'activité physique comme la danse hip‐hop dans les quartiers défavorisés sont discutées.